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Câmel. Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre

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MessageSujet: Câmel. Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre EmptyVen 2 Nov - 16:21


© CREDITS.
Câmel Wild
Color my life with the chaos of trouble..

NOMécrire ici. PRÉNOM(S)Câmel Devon SURNOM(S)y en a pas ! ÂGE24 ans . DATE ET LIEU DE NAISSANCE20 Décembre 1987 Johannesburg en Afrique du Sud . MÉTIER/ÉTUDESSergent à la crime . NORTH HAMPTON ou BORDEAUXNorth Hampton. STATUT CIVILVeuf . TRAITS DE CARACTÈREJoueur, possessif , têtu , rancunier, violent, attachant. GROUPESAFE AND SOUND . AVATARChanning tatum .



∼ i miss you like crazy.
Je n’aime pas les relations à distance, je n’en ai jamais vraiment vécu et il faut dire que les deux seules femmes que j’ai aimé ont toujours été à mes côtés. Ce qui m’effraye dans le fait de laisser seule celle que j’aime ? C’est sans doute qu’avec ma manière d’agir, elle risque sa peau tout comme en a fait les frais ma femme, je m’en veux et c’est sans doute pour ça que je finis souvent ivre dans mon lit le soir. On peut se battre pour moi, mais je ne risque pas de laisser quiconque retoucher un cheveu à l’une des femmes présentes dans ma vie.

J'ai horreur de me déplacer en voiture, je n'ai pas vraiment le choix quand j'ai un partenaire dans mon travail, mais je m'amuse bien plus sur ma moto. Je suis un accro au café, je ne peux m'en passer, quelquefois je me demande comment je fais pour m'endormir le soir. Je rends au cimetière tout les Jeudi pour visiter la pierre tombale de ma femme. Je m'amuse à rendre visite de temps à autre à celui qui a fait ça faisant croire à tous ses petits amis qu'il balance des informations au flic. J'aime le voir avec un visage remplie d'hématome. Je passe souvent ma main dans les cheveux pour certaine personne c'est une façon de dire qu'une personne me plait, ils n'ont sans doute pas tord, mais plaire ne veut pas dire aimer. Je sors très souvent avec ou sans amis. La solitude ne me fait point peur, j'apprécie même cela de temps à autre. Se retrouver seul avec ses pensées. Je bois très souvent, je tiens bien l'alcool. Lorsque je ne sors pas, que je ne drague pas ou que je ne couche pas, je m'amuse devant ma télé et un jeu vidéo. Je raffole de ce genre d'activité sans doute de là que vient mon côté: mauvais perdant. J'aime faire des promenades main dans la main à la plage, vous y avez cru ? Non, j'aime les balades à moto seul. Je pratique souvent les sports de combat en dehors du ring de combat illégal. J'utilise mes poings même au travail pour faire parler les malfrats. J'apprécie la danse, mais ça c'est un secret bien gardé.


∼ nobody said it was easy.



Se méfier. Ne jamais croire les apparences, c'est si complexe, si frustrant de ne pas croire ce que l'on voit au premier coup d'œil. Pourtant, les apparences ne sont pas toujours si trompeuses, elles peuvent se révéler bien pire quelquefois. Mon histoire est jonchée d'apparence qui se révèle malheureusement peu vrai. Famille heureuse, unie, parfaite et solide. Foutaise! Ça me fait joliment rire. Admirable famille qui n'aurait jamais dû voir le jour. Ce n'est qu'un simple avis du seul de cette famille qui ait été capable de voir cette supercherie. Pardonner, n'a jamais fait partie de mon vocabulaire, je fais payer, prenais garde, je me sers que très bien d'une arme à feu, je ne loupe jamais mon coup. Nous n'avons pas besoin de vivre un compte de fée pour survivre dans ce monde, tant que nos avons la vengeance dans la peau. La vengeance fait partie de cette vie si admirable. Ironie. J'aimerais tant revenir en arrière et retrouver mon équilibre. Mais, suis-je sûr de vouloir redevenir ce gosse qui espérait encore et encore que les coups cesse de pleuvoir sur son frêle corps? Ou suis-je simplement cet homme marié qui rêverait de retrouver l'homme qui avait enlevé la vie à celle qui avait réussi à me rendre meilleur? Je ne veux rien de tout ça, vivre dans la vengeance c'est toujours mieux que de vivre avec des remords.

Avant notre naissance nous avons tous un passé fort, celui de nos parents s'unissant pour la vie ou pour une nuit. Quelquefois le destin ne fait pas bien son travail, quelle idée d'unir un homme violent avec une femme crédule ? On se le demande. Certaine fois, c'est la vie, la dure réalité qui change les personnes, rendant parfois un homme presque parfait en un véritable monstre. Le problème? C'est que les chiens ne font pas des chats. Nous nous construisons à travers les gestes de nos parents ou de nos proches. On résiste ne désirant pas tomber dans ce qu'on juge mauvais, on lutte jour après jour espérant que chaque choix que nous faisons nous emmène au plus loin de la personne à qui nous ne voulons pas ressembler. Mais, quelquefois tout ça ne sert à rien, le destin nous rattrape nous rendant comme nous devons l'être.

Douce imposture, douce enfance. Le mot douceur a très peu fait partie de mon monde d'enfant innocent. Joueur, souriant, blagueur et distrait. Je n'étais point parfait et cela on me l'a toujours fait remarquer. Quand je suis arrivé dans ma famille, j'étais le troisième enfant à faire son entrée dans cette dernière. Point de chouchou chez nous, pas de jalousie, les coups verbales s'abattaient sur chacun de nous, il n'y avait pas de raison pour que l'un de nous soit la victime préférée de notre cher père. Droit, polie, sage, silencieux, obéissant, tant de mot pouvant décrire un enfant parfait. Mais, la perfection est une chose que chaque personne façonne et voit à sa manière. Nous n'étions donc pas parfaits pour mon cher géniteur. Quoi qu'il se passe ses fils n'était point parfait, ce qu'il voulait? De la rancune, de la jalousie, de la combativité, de la haine ce qu'il ne voulait pas c'était une fratrie unie et prête à tous les uns pour les autres. Mais on était fort du haut de nos cinq, six et huit ans. On combattait ensemble ne comprenant pas toujours les réactions de ce père plus bruyant qu'autre chose. Il n'était pas méchant, pas encore. Les coups ne se déposaient jamais sur nos frêles peaux. Notre mère prenait chaque coup à chacune de nos erreurs, des bêtises qu'on regrettait amèrement en voyant le visage abattu de ma mère à chaque fois qu'elle se recevait les coups de notre père. La famille continua à se construire, une fille rejoignit le clan des Wild . Nous avions tous prit un an de plus, six ans pour ma part. L'âge où nous commençons à fréquenter l'école primaire. Ça ce n’était pas pour nous. Les personnes de notre classe ayant une telle richesse personnelle ne pouvait point se mélanger au petit peuple. J’aurai, pour ma part tout fait pour rejoindre les rangs des pauvres, leurs vies étaient sans-doute plus douce, cette douceur dont je manquai depuis tant d'année. Nous n'avions jamais eu de câlin ou toutes autre marque d'affection de l'un de nos parents. Notre mère n’avait nullement le choix, sachant que nous risquons tous les coups de notre père. Johannesburg était notre chez nous depuis toujours. Mon géniteur avait toujours vécu ici à la grande différence de notre mère qui avait vécu auparavant en France. La fratrie dont je faisais partie commençait à se séparer toujours en désaccord. Mon père avait fini par nous mener à la baguette comme il l'entendait. Fort mentalement. J'étais sans doute le plus faible des trois garçons, je voulais protéger ma mère et ma sœur. Mais seul, je ne faisais pas le poids.

Seize ans. Les années sont passées nous laissant subir les coups, les coups bas de notre cher père. La vie n'était point douce avec notre famille, notre père n'était plus notre seul problème, tous s'enchaînait. Ma douce petite sœur était atteinte d'un cancer, j'avais tant de mal à me faire à cette idée. Je recevais de l'intention et des preuves d'amour que de cette dernière. Je continuais de la protéger de tous, il était hors de question que ma petite chérie reçoive un seul coup. Elle y avait échappé jusqu'à présent. La fratrie que j'avais sans cesse formée avec mes frères n'était à présent plus. Entre nous régnait tout ce que mon père désirait: la haine. On voulait être le meilleur pour notre père, moi-même j'étais dans cette vision des choses. Les coups continuaient de s'abattre sur nous. Ma mère était de plus en plus faible. Ce que je voulais le plus au monde? Les protéger, elles. On ne connaissait que très peu de monde en dehors de notre monde. Nous avions étudiés à la maison, nous ne laissant nulle chance de briser ce cercle de violence qui régnait chez nous, dans cette si jolie demeure. Pour moi, les seize ans rimèrent avec nouvelle passion et de belle rencontre. Le surf. Je profitais enfin d'une certaine liberté, cela ne plaisait pas à mon géniteur, ce qui me réjouissait encore plus à l'idée de le faire enrager un peu plus. Mon frère de dix-huit ans étaient à présent hors de chez nous, fuir le foyer dit familial et accueillant était tout ce que nous souhaitons. Je continuais de me démener avec mon second frère, nous détestant et haïssant au plus haut point.

Un jour tout explosa. Je n'arrivais plus à maîtriser quand j'apprenais que ma sœur avait été frappée pendant mon absence. L'horreur, elle était déjà faible continuant de se battre contre son maudit cancer. Mon sang n'avait pas mis longtemps à faire le tour de mon corps. J'arrivai rapidement dans la chambre de mon frère avec l'intention de démolir ce dernier, mon père voulait qu'on se batte? Alors, il avait réussi. Mon frère avait osé déposer ses poings sur elle. Mes poings avaient fini par atterrir sur lui avec plus de force que jamais. J'appris, que mon frère avait été forcé par mon père. Le soir même de mon altercation avec mon frangin, mon père battit ma mère. Je n'hésitai plus prenant en moins l'arme de mon père qu'il détenait pour se protéger. L'arme en main, je tirais plusieurs coups, les yeux presque fermés. J'avais mal, car cette ordure, malgré tout je l'aimai. J'avais raté mon coup ou plutôt mes coups. Il survécut aux balles que j'avais faites pénétrer dans son corps. Cinq balles, sans doute pas assez pour exterminer cette vermine. Par la suite, je fus obligé de partir de chez moi avant l'heure. Direction ce pays que je ne connaissais pas,les états unis devenu assez rapidement mon nouveau chez moi, North Hampton m'appris beaucoup sur moi. J'étais violent et aussi imbu de moi-même que mon père. Je mettais pourtant tant battu pour ne pas l'être.

Après quatre ans dans cette ville qui m'avait permis de m'épanouir, j'étais devenu un flic avec des habitudes très spéciales. J'étais un pourri avec les hommes tabassant les femmes et les gosses. J'utilisais des manières propres à moi pour résoudre les affaires qui m’étaient confié. La violence et les menaces, je ne passais pas par quatre chemins, c'était des criminels alors pourquoi y aller gentiment? J'avais bien joué dans cette ville, les filles et les hommes étaient passés dans mon lit jusqu'à ce qu'elle franchise les barrières de mon cœur. Je n'avais jamais aimé. J'étais donc marié à une splendide femme qui me gardait humain dirons nous. Le destin décida de me l'enlever assez rapidement. Des événements qui s'enchaînèrent rapidement. J'étais à la poursuite d'un homme qui avait déjà violé deux femmes, mes méthodes étaient toujours les mêmes, mais apparemment il était aussi joueur que moi. Je savais qui il était, je n'avais pas preuve contre lui et mon seul désire était de le faire tomber. J'étais plus loin de l'arrêter, mais un coup de téléphone changea tout. Ma mère était morte, mon père avait laissé s'abattre ses derniers coups sur elle, cette femme qui avait toujours tout fait pour que nous ses enfants n'entre pas dans le jeu de ce mari si monstrueux. Mais, au final on y était tous, mon frère devenu un homme battant sa femme, tandis que l'autre se régalait à l'armée. Seule ma douce sœur avait réussi à tenir le cap, sans doute la maladie qui l'avait aidé. Je ne mis pas longtemps avant de rejoindre la ville de mon enfance, pour faire ce que j'avais tenté de faire quatre ans auparavant. Le tuer. Cette fois, je m'assurais qu'il ne s'en sorte pas. Un coup de couteau en plein cœur. Pendant que moi j'expliquais mon geste à mes collègues policier, prétextant la légitime défense de ma petite sœur, ma femme elle qui était enceinte se fit violer et tuer. Salaud. Il m'avait piégé. Ce délinquant avait profité de mon absence pour recommencer et s'en prendre à moi, il avait été plus loin que d'habitude sans doute pour me faire payer mon acharnement contre lui. Je revenais à North Hampton avec une seule idée en tête: me venger. J'avais ramené ma sœur avec moi. Je réussis à le coincer, mais malheureusement on m'avait foutu un connard de collègue sur le dos qui m'avait empêché de le tuer d'un coup, non la prison. J'aurais voulu l'étrangler de mes mains, mais je n’en avais pas le droit. Pendant cinq jours, j'ai dormi sur la tombe de ma femme, me laissant dépérir.

J'ai repris du poil de la bête me montrant encore plus cruel et reprenant mes mauvaises habitudes en buvant et me retrouvant dans des lits m'étant bien souvent inconnu. La fusillade je n'y étais pas lorsque les coups de feu ont été tirés. J'étais arrivé dans les premiers flics pour arrêter tout ça, mais nous n'avions rien eu à faire à part constater la mort de beaucoup de personnes. Jamais je n'avais été aussi choqué par de quelques choses. J'étais horrifié à tel point que je restais inerte face à tous ces corps et victime se trouvant face à moi, j'eus d'yeux que pour ceux qui avaient causé ça, me demandant qu'avait il pu leur traverser l'esprit pour arriver à faire une telle chose. J'ai repris une vie normale à la suite de cet événement continuant d'être ce flic ripoux qui devrait être depuis le temps viré, mais m'avoir dans leurs locaux était toujours mieux que de m'avoir en dehors, car tous savent que ce que je fais c'est juste ce que tous nous voulons. Mais, je sens bien que je vais avoir un coéquipier rien que pour me canaliser, j’attends donc de voir avec hâtes le nouveau que je vais devoir traumatiser, qui sait peut-être un futur moi. .



PSEUDO/PRÉNOM ◮ Cindy OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? ◮ Sur un autre forum VOTRE AVIS ◮ Magnifique et comment dire que le contexte c'est du jamais vu donc forcément ça donne encore plus envie VOTRE FREQUENCE DE CONNEXION ◮ 5/7 jours. QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? ◮ Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre 891098728



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Olivia Chamberlain
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MessageSujet: Re: Câmel. Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre EmptyVen 2 Nov - 16:25

Bienvenue !

Super choix d'avatar =)
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MessageSujet: Re: Câmel. Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre EmptyVen 2 Nov - 16:42

Merci toi Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre 2124793060
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Apple Petterson
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COME BACK AND HAUNT ME
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MessageSujet: Re: Câmel. Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre EmptyVen 2 Nov - 16:45

Le choix d'avatar et les gifs Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre 3557151454
Bienvenue sur le forum et tu as terminé ? I love you

edit, tout est bon, je te valide Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre 1190088023 N'oublie pas d'aller recenser ton avatar et faire toutes tes demandes Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre 675700275
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MessageSujet: Re: Câmel. Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre EmptyVen 2 Nov - 16:56

Merci Apple ton avatar aussi il est *O*
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MessageSujet: Re: Câmel. Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre Câmel.  Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre EmptySam 3 Nov - 8:35

Désolé pour le retard .. Bienvenue ici I love you
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